Vêtement tâchés par des conditions de travail indécentes, smartphones fabriqués avec des minerais extraits par des enfants, bananes garanties 100% de violations de droits syndicaux, viande importée issue de la déforestation… les produits que nous trouvons dans les magasins peuvent contenir des traces de graves violations des droits humains, sociaux ou environnementaux. Aucun secteur économique n’est exempté.
Et pour cause, le commerce mondialisé ne permet pas aujourd’hui d’établir la transparence sur les chaînes d’approvisionnement. Les entreprises qui font fabriquer ou qui commercialisent les produits peuvent trop facilement dire qu’elles ne savent pas ce qui se passe chez leurs sous-traitants.
Chaque année, des entreprises sont impliquées dans de nombreuses violations de droits humains, sociaux et environnementaux.
Mais, à l’heure actuelle, elles ne sont pas juridiquement responsables de ce qui se produit tout au long de leurs chaînes de valeur.
Une fatalité ? Non, une solution existe : la Belgique et l’Union européenne doivent agir, et adopter au plus vite une législation ambitieuse sur le devoir de vigilance et la responsabilité des entreprises ! Des textes sont sur la table. Mais qu’est-ce que le devoir de vigilance ?
Un vote décisif se tiendra en séance plénière du Parlement européen le 1er juin. Les eurodéputé·e·s belges vont-ils ou elles jouer pour le camp des droits humains ?
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