Les projets d’agrobusiness dans les pays en développement sont des paris risqués. Comme nous l’ont appris d’autres cas, les retombées positives pour les communautés locales sont loin d’être assurées et les gains pour les actionnaires ne sont pas toujours garantis. Le cas de SIAT permet d’avoir un nouvel éclairage 100% belge sur les effets de l’imposition de projets de monocultures à grande échelle, et d’y déceler les leçons à tirer pour la suite, au niveau belge et international.